L'objectif de cet article est d'analyser la contribution des flux financiers illicites aux écarts de taux de pression fiscale en Afrique subsaharienne. Notre échantillon est constitué à la fois de 18 pays coopératifs et de 12 pays non coopératifs en matière de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. L'utilisation de la décomposition d'Oaxaca-Blinder, montre que la différence en termes de flux financiers illicites explique les écarts de pression fiscale.(abstrakt oryginalny)
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